-I'm not english neither mentalist. -Eth'.

Quelle est la différence entre l'Upper East Side et Brooklyn ? Brooklyn est un endroit beaucoup plus calme que l'Upper East Side. Ethan, à cause de son travail il n'a pas vraiment la chance de s'y rendre. Il trouve que c'est un endroit tranquille même si certain endroits sont rongés par la pauvreté. L'Upper East Side est pour lui, un endroit luxueux où se trouve les têtes de l'économie et où presque tout est possible et réalisable. Qu'est ce que le luxe ? Le luxe est quelque chose de matériel qui ne remplace pas une chose essentielle qui est l'amour. Grâce à son travail, Ethan n'a pas à s'en faire pour l'argent, puisqu'il vit très aisément. Qui est Gossip Girl ? Gossip Girl est probablement une personne qui n'à rien à faire de sa vie à part critiquer tout ce aui bouge. C'est sûrement une personne qui cherche à se venger d'autres personnes et en essayant de se venger cherche à humilier les autres. Quelles sont tes priorités ? Trouver l'àme soeur. Ethan en à marrre de se sentir seul, la solitude le rongeant peu à peu. Il aimerait se poser et avoir une petite-amie rien qu'à lui. Parles moi de toi ? : Ethan est une personnage avec un charme fou, qui en est complétement conscient. Cependant, cela ne fait pas tout, tout comme la célébrité. Ethan adore lire et conduire. Écouter de la musique douce comme des vielles compiles de rock. Embrasser est aussi un de ses vices.

▲ c'est mon histoire
Ethan marcha droit devant lui sans se soucier des regards qui s'attardait sur sa personne. Tout le monde le connaissait. Tout le monde l'enviait, le convoitait, l'admirait. Les hommes le haïssait, les femmes le voulait. Il marchait droit, fier et semblait éloigné de ce qui se passait à sa proximité. Les commérages se taisaient, les voix cessaient sur son passage et les regards ne le quittait plus. Ethan aurait du se sentir, comment dire, flatté, il le savait. Oui, mais non, peu lui importait. Il se dirigea d'un pas ferme vers l'ascenseur et appuya sur le bouton qui devait justement l'appeler. Il rajusta d'un geste banale sa veste et releva le menton. Il était juste sorti déjeuné et rentrait donc vers son bureau. Il n'avait plus qu'une envie qui était de s'installer derrière son confortable fauteuil et de lire les derniers dossiers qu'on lui avait apportés. Il savait déjà d'avance comment se passerait la fin de sa journée: il la passerait à essayer de terminer ses dossiers les plus importants pour faire une pause vers dix-sept heures afin de laisser voyager son regard à travers les grandes baies vitrées de son immense bureau situé au dernier étage d'un des plus imposants building de Manhattan. Puis, il en sortirai vers vingt-deux heures pour rentrer dans son grand appartement. Vide. Seul. Puis il lirait quelques pages un livre sans en comprendre le contenu, histoire d'encore plus fatiguer ses yeux avant de s'endormir soit sur son imposant canapé soit dans son grand lit, encore et toujours plus seul. Il soupira. Cet ascenseur mettait toujours un temps fou avant d'arriver. C'était pour cela qu'il préférait généralement déjeuner dans son bureau mais aujourd'hui, il avait eu une importante réunion à l’extérieur. Réunion qui l'avait presque achevé. Définitivement. La routine le pesait et plus les jours passaient et plus il en prenait conscience. Puis l'ascenseur arriva enfin et l'avocat réprima un juron. Ce n'était pas trop tôt. Il entrait dans l'ascenseur alors qu'une chanson retentissait comme fond sonore, quand soudain: « Attendez ! » Ethan haussa un sourcil alors qu'il venait de pénétrer dans la boîte grise. Il appuya alors sur la touche qui retenait les portes de l'ascenseur ouvertes et regarda avec un certain amusement une femme courir. Avec amusement car les talons hauts qu'elle portait ne lui permettaient pas une endurance soutenu. Elle pénétra enfin dans l'ascenseur, essoufflée.

« Merci. » Elle releva la tête et plongea ses yeux dans les siens. Ethan sentit alors que le sol s'ouvrait sous ses pieds. Sa beauté le frappa inconditionnellement. Ciel, qu'elle était belle. Il lui rendit le sourire qu'elle lui faisait, incapable de prononcer un mot. Dernièrement, les femmes étaient un sujet très sensible. Il n'avait pas l'occasion d'en voir ni d'en croiser beaucoup à cause de son travail et ne se souvenait presque plus de sa dernière expérience au lit... « Quel étage ? » Elle le regarda presque choquée ne comprenant pas immédiatement sa requête, il lui signala alors avec un regard encore plus amusé que le précèdent, les touches de bord de l'ascenseur. Elle réagit immédiatement en souriant. « Oh ! Le quinzième, merci. Je vous prie de m'excuser, ce n'est pas tous les jours que l'on se retrouve seule à seul avec Ethan Barclay.» Tout en appuyant sur le bouton chiffré du numéro quinze, suivit du dix-huit -où son bureau se trouvait- Ethan esquissa une grimace. Il l'observa du coin de l’œil, elle essayait tant bien que mal de remettre de l'ordre dans sa coiffure. « Nous connaissons-nous ? » Dire qu'elle connaissait son nom et que lui ignorait le sien. La vie pouvait parfois être bien cruelle. « Absolument pas. Du moins, moi oui. Par votre travail, évidemment. » Évidemment. Ethan se détendit quelque peu et s'adossa à une paroi de l'ascenseur tout en croisant les bras. « Ah. Et vous êtes...? » La jeune femme eut un demi-sourire. « Veuillez pardonner mes impolitesses, mon nom est Camila Hollis. » L'avocat eut un sourire ravageur, très consciencieux de l'effet qu'il produisait. Elle se mit à rougir, peut-être gêné, peut-être ravie. « Enchanté, mademoiselle Hollis. » Elle lui répondit par un sourire puis jeta un regard vers l'écran d'étage de l'ascenseur. Elle semblait troublée. Une mèche de ses sublimes cheveux auburns s'était échappée de son chignon assez sévère et glissait sur sa joue. Elle avait un beau visage et des traits fins ainsi que d'immenses yeux verts. Il dut se concentrer sur les portes de l'ascenseur pour résister à son envie de placer cette mèche rebelle derrière son oreille. Il s'imagina la douceur de sa peau, le contact de ses lèvres contre les siennes, la respiration suffocante de cette inconnue contre son oreille. Il l'aurait bien prise maintenant, là, n'importe où. Puis enfin, un bruit sonore et strident retentit telle une clochette. Ils étaient arrivés au quinzième étage. Ethan ne cacha pas sa déception. « Ce fut un plaisir Mr. Barclay. » Elle se força à sourire, rouge et confuse. Elle avait perdu de sa superbe depuis qu'elle était arrivé suffocante et qu'elle s'était retrouvée face à cet avocat bien trop séduisant pour se permettre de se promener dans les couloirs du building. « Un plaisir partagé comme il se doit. » Il esquissa un dernier sourire et les portes de l'ascenseur se refermèrent sur elle. Alors il s'appuya encore plus contre la paroi fraîche de l'ascenseur pour calmer ses pulsions. Il la retrouverait surement. Quelques recherches et cette inconnue pouvait lui appartenir.