WAR AT THE ROSES
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 TRIS ▲ ELLE A LES YEUX QUI CRIENT BRAGUETTE

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TRIS ▲ ELLE A LES YEUX QUI CRIENT BRAGUETTE Empty
MessageSujet: TRIS ▲ ELLE A LES YEUX QUI CRIENT BRAGUETTE   TRIS ▲ ELLE A LES YEUX QUI CRIENT BRAGUETTE EmptySam 15 Déc - 1:23



TRIS ODAIR
+ petite phrase/citation

+ PRÉNOM : tris + NOM : odair + ÂGE : vingt un ans + ACTIVITÉ PROFESSIONNELLE : étudiante en journaliste. + STATUT CIVIL : célibataire, mais totalement perdu. + TRAITS DE CARACTÈRE : dynamique + souriante + impulsive + extravertie + susceptible + trop sensible + impatiente + joueuse + tête en l'air + intelligente + bordélique + rêveuse + colérique + persévérante + têtue + charmeuse + romantique + naïve + tendre + enfantine + naturelle + attachante + gourmande + dépensière + fêtarde
+ SIGNE ASTROLOGIQUE : cancer + J'AIME : les cornichons, ses cheveux, le baseball, son iphone, les talons très hauts, l'équitation, la glace au chocolat, les yacht, la vie, les post-it, ses seins, les magasins de luxe, les célèbres boite de nuit, les comptes en banque bien garni, chanel, la vodka, être vus en bonne compagnie, son dressing, la pluie, se coucher à l'heure où les gens se lèvent, les motos, lire les petits mots notés sur les murs des toilettes des bars, les soirées DVD chez Silley, voyager, la mode, le beurre salé, les fraises, les fous rires, les lunettes de soleil, les milkshakes à la vanille, son chien Rocky, la vitesse, les films à l'eau de rose, les albums de The Fray, apprendre des insultes dans des langues étrangères, la schtroumpfette, les rave-party. + J'AIME PAS : le sport, les mots croisés, faire son lit, le matin, les géraniums, facebook, les gens qui parlent au cinéma, entendre sa mère pendant toute la nuit quand elle n'a pas vu son jules depuis longtemps, la politique, la vulnérabilité, se dépêcher, les mathématiques, cuisiner, les gens qui ne tiennent pas l'alcool, être en avance, les fins de fêtes, les montres-bracelets, les stations de ski, la moustache, le beurre, le champagne, les biscottes, les banquets, le disco, les sushis. .
you know love me
Voici le test de psychologie. Celui ci est très important, puisque c'est grâce à celui-ci, que nous pourrons déterminer ton groupe. Mettre en gras les bonnes réponses. (une seule réponse par question).
1) Quel est ton film favori ?
a - Spiderman (Sam Raimi)
b - Sex And The City (Michael Patrick King)
c - Diamants sur Canapé (Blake Edwards)
d - A Bout de Souffle (Jean-Luc Godard)
e - Cosmopolis (David Cronemberg)

2) Où irais-tu pour les vacances ?
a - Royaume-Uni
b - Argentine
c - France
d - Italie
e - Russie

3) Tu envoies des ragots à GG ?
a - Jamais
b - Souvent
c - Tout le temps
d - Occasionnellement
e - Si besoin est

4) Au lycée tu étais qui ?
a - le sex-symbole
b - le fêtard
c - le roi
d - le solitaire
e - le requin

5) Quel chansons mettrais-tu dans ton ipod ?
a - Beautiful Girls (Sean Kingston)
b - Do The Panic (Phantom Planet)
c - Shut Up And Drive (Rihanna)
d - Inside Outside (Miss Eighty 6)
e - One Week Of Danger (The Virgins)

6) Quelle est ta couleur préférée ?
a - Le Vert
b - Le Jaune
c - Le Bleu
d - Le Violet
e - Le Rouge

7) Quel alcool consommes-tu ?
a - La Bière
b - La Tequila
c - Le Champagne
d - Le Vin Rouge
e - Le Whisky

8) Qui est Gossip Girl ?
a - Une langue de vipère
b - Une rivale
c - Une menace
d - Une inconnue
e - Un outil

9) Quelle odeur préfères-tu ?
a - 1 Million (Paco Rabbane)
b - Trésor In Love (Lancôme)
c - Miss Dior (Dior)
d - Fuel For Life (Diesel)
e - Fleur du Male (Jean-Paul Gauthier)

10) Qui admires-tu le plus ?
a - Barak Obama
b - Eva Longoria
c - Lady Diana
d - Stephen King
e - Mark Zuckerberg
vu par gossip girl
+ surnom : Snow-white
+ secrets dévoilés : Tris était tellement bourrée qu'elle est allée dans un commissariat de police porté plainte contre elle-même pour harcèlement, elle a fini en cellule de dégrisement.
Elle a été en cours dans une fac qui n'était pas la sienne, bourré et elle lancé pleins de trucs vraiment dégueulasse sur les élèves.
Au lycée, dans sa période rebelle, elle proposait des parties de jambes en l'air aux plus beaux mecs pour se faire avorter un mois après.
+ rumeurs actuelles :Elle entretiendrait des relations plus qu'amicaux avec sa meilleure amie Silley après une soirée arrosé ou elles étaient plus que proche.
Tris aurait tenu des propos injurieux sur l'orientation sexuelle de son père alors qu'il s'est donner tellement de mal pour cacher sa bisexualité au yeux des médias.

Que penses tu de Manhattan ? réponse.

Quels sont tes secrets ? Elle couche en secret avec l'homme qui l'a humilier et qui l'a fait souffrir pendant la période du lycée, il a reprit contact avec elle récemment et de nouveau il profite d'elle et de sa naïveté en lui fessant croire qu'il l'a toujours aimé pourtant il est mariée.
Après avoir causé un accident qui a faillit couter la vie à une personne qui s'est retrouver paralysé pendant une longue période elle l'a payait en échange de son silence, mais depuis que la personne s'est remit de son accident elle lui fait du chantage.



+ PRÉNOM/PSEUDO : junie + RÉGION : lyon + ÂGE : vingt ans + AVATAR : amber heard + COMMENT AS TU CONNU LE FORUM ? : via partenariat + COMMENTAIRES : TRIS ▲ ELLE A LES YEUX QUI CRIENT BRAGUETTE 2124793060





Dernière édition par Tris Odair le Dim 16 Déc - 14:21, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: TRIS ▲ ELLE A LES YEUX QUI CRIENT BRAGUETTE   TRIS ▲ ELLE A LES YEUX QUI CRIENT BRAGUETTE EmptySam 15 Déc - 1:23

    you know you love me

    Ma mère est pour moi, tout ce que j'ai de plus précieux au monde. Mes parents se sont bizarrement rencontrés au travail. Ma mère étant actrice, elle avait à l'époque, décrocher une place dans une agence de production très reconnue, mon père était le dirigeant de la boîte. C'est à partir de là que tout débuta entre eux. Mon père, Robert, séducteur de nature, lui proposa un rendez-vous dès la première semaine dans son agence. Elle a du accepter, mais seulement si vous faites l'accord avec un objet féminin précédent, de peur d'être renvoyée et ne voulait pas perdre une place tel que celle-ci. Et dès le premier soir, elle tomba sous son charme et réciproquement. Les rendez-vous tel que ce premier s'enchaînèrent soir après soir, durant plusieurs longues semaines. Jusqu'au jour où ils se mirent vraiment en couple et c'est même à ce jour que Phoebe, ma mère, emménagea chez lui. On pourrait croire à une véritable histoire d'amour. Au départ s'en était une belle, romantique et avec un avenir qui disait grand. Jusqu'au jour où mon père s'éloigna pour se laisser tenter par quelque chose de nouveau. À ce moment-là, ma mère était enceinte. Elle retarda l'annonce à quelques semaines, sentant la distance se posait entre les deux jeunes gens... « Rob, je sais que plus rien ne vas entre nous et je sais que tu le retrouves chaque nuit... mais je dois te dire quelque chose. Quelque chose, qui va changer nos vies à tous les deux. » Débuta-t-elle aussi timidement soit-il. C'était étrange que ma mère réagisse ainsi, elle savait tout de ce qu'il lui cachait, mais ne lui en voulait pas plus que ça. « Phoebe, j'allais t'en parler, je te promets que j'allais le faire, je voulais juste attendre le bon moment tu sais... Parle-moi ma chérie, qu'est-ce qui se passe ? » Même si mon père était avec un autre homme, il ne pouvait s'arrêter de la surnommée comme tel, de l'aimer tout simplement. « Je... Je suis enceinte Robert, j'attends un bébé. Je le sais depuis plusieurs semaines déjà, mais tout comme toi, je voulais trouver le moment idéal pour te l'annoncer. » Un sourire s'afficha aux lèvres de mon père, car il le savait, il l'avait deviné et découvert, quelques jours auparavant. « Je le savais Phoebe... J'ai vu le test de grossesse dans la poubelle l'autre jour. Malgré notre situation... Je suis plus que content, nous allons avoir un bébé, notre bébé. » C'était tellement étrange comme situation pour eux, pour ma mère qui l'aimait en souffrant. « Robert, tu... Enfin, tu devrais emménager avec ton nouveau copain. Je préfère et c'est mieux pour toi, pour moi et pour le bébé. Je prendrais soin de t'appeler pour chaque rendez-vous au gynécologue et t'appellerai quand je n'irais pas bien, je te le promets. » J'ai toujours dit, penser et revendiqué que ma mère était quelqu'un de bien et ce qu'elle venait de dire à mon père, le prouver amplement. « Merci mon ange, merci pour tout ce que tu fais pour moi. Tu es quelqu'un d'extraordinaire et j'espère que notre bébé aura toutes tes qualités et je n'en doute pas d'ailleurs. » A ces mots, ma mère ne dit plus rien. Elle se contenta de sourire, tandis que mon père s'en alla préparer une valise avec quelques-une de ses affaires. Avant de partir, il s'approcha de Phoebe, l'enlaça. « Tu es mon premier amour. » Lui souffla-t-il avant de l'embrasser, une dernière fois. Après qu'il soit parti, ma mère s'effondra en pleures. C'était tellement dur pour elle de laisser filer l'homme qu'elle aimait toujours, le père de son bébé. La seule et unique personne qui avait donné un sens à sa vie. Elle réussit tout de même à remonter la pente, avec l'aide de sa meilleure amie, sa famille et tous ceux qui étaient présents pour elle et le bébé. Mon père se rendit à chaque rendez-vous, jusqu'au jour de l'accouchement. À cette période de sa vie, il n'était plus avec son petit ami et voulait regagner le cœur de ma mère, mais il était trop tard. Ma mère était casée et heureuse lors de ma naissance. Dès mes premiers cris, elle se mit instinctivement à pleurer, c'était pour elle, tout comme pour mon père, le plus beau jour de leurs vies.


    you know you love me

    Je cours en essayant de moins pleurer, mais rien à faire, je suis brisée. Qu’elle idiote j’étais sur ce coup là, des jeunes passaient par là en beuglant des choses incompréhensibles. Ce qu’ils disaient m’importait peu, je venais de me faire avoir en beauté par celui que j’aimais. Au fond je l’avais cherché, j’aurais du être plus méfiante à son égard. Naïve, idiote, crédule de croire qu’un mec comme lui s’intéressait sérieusement à moi. Je finis ma course sur l’herbe humide du lycée, ma robe blanche devait déjà être couverte de boue. Je m’en foutais royalement, je vennais de subir la pire humiliation de ma vie. Je revoyais leur visage couvert de sourire hypocrite, vainqueur d’avoir abusé de la pauvre Tris Odair. Je n’étais pas celle que je faisais croire, j'étais loin d'être la fille forte que je m’appliquais à être, dans le fond, j’avais toujours était très fragile. J’aurais du écouter mon instinct : fuir devant le péché, le fruit défendu Wren. Il était venu chez moi, un samedi après-midi alors que ma mère et mon beau-père travaillaient, à chaque fois qu'il commençait à devenir trop proche de moi ou à me faire des caresses je le repoussais, cette fois là, je les encore fais. « Écoute Tris, on est ensemble depuis bientôt deux mois, tu n'en as pas envie ? » Ce n'est pas que je n'en avais pas envie, non j'avais juste peur. « Wren, j'en ai envie, j'ai juste peur... Tu... Tu m'aideras ? » Il rigola légèrement, avant de revenir sérieux et de reposer son regard sur moi, posant sa main si douce sur ma joue. « N'ai pas peur, je suis là. Je t'aime Tris. » Je souriais avant de m'avancer vers lui, l'embrassant doucement, les choses se passèrent doucement, une première fois magique, mais voilà, à peine une semaine plus tard mon histoire avec Wren se termina, il me quitta durant le bal de promo devant tout le monde en m'assurant qu'il ne m'avait jamais aimer et que notre histoire était un simple pari réussie, me fessant vivre le pire moment de ma vie. Le calme avait envahi les alentours, la musique de la salle de fête me semblait loin. Pourtant c’était le chaos dans ma tête, je ne savais plus qui croire. Tant de chose était vrai à mes yeux aujourd’hui ce n’était que mensonge, poussière. J’ouvris ma main un petit sachet rempli d’une poudre blanche, jusqu’à aujourd’hui ce genre de produit ne m’avais jamais attiré. Pourtant mon cœur voulait tenter cette expérience, qu’est-ce que j’avais à perdre ? Ma vie était complètement foutue, je ne manquerai à personne. Ma famille ? Je devais penser à ma mère qui se sentira coupable si je finissais à la morgue. Pourquoi devrais-je penser encore aux autres ? Un geste inconsidéré de ma part je sais mais, je me détestais là à ce moment précis. Je voulais en finir avec cette vie minable, j’ouvris le petit paquet et en posa un peu sur le dos de ma main. Je regardais cette poudre posait là, avant de la renifler. J’ignorais si j’avais réussi à prendre cette coke, mais les effets ressentis étaient étranges. On disait que tu planais, que tu étais dans un autre monde. C’était faux je me sentais mal, affaiblie je ne contrôlais plus grand-chose de mon corps. Je voulais juste fermer les yeux et ne plus voir la lumière du jour. Je sentais l’herbe fraiche sous ma robe mais, j’étais ailleurs bien loin de ce monde cruel. Même cette jeune fille qui se trouvait près de moi, ne changeait rien à la situation je partais. « Bon sang, Tris qu’est-ce que tu me fais là ? » Je ne sais pas mais je vais mieux.

    you know you love me

    J’étais allongée sur ce lit depuis deux jours, m’ennuyant chaque jour mais le remord me rongeait un peu plus chaque jour. J’étais arrivée très bas sur ce coup, mon dieu que je regrette d’avoir pris cette drogue pour avoir un meilleur moyen de fuir. Ma mère se demandait encore pourquoi j’avais voulu mettre fin à ma vie, je n’osais même pas lui en parler. J’étais assez honteuse, j’aurai voulu ne jamais me réveiller dans cette chambre. Le destin ou appelait cela comme vous le voulez avait décidé que je vivrais encore. Et que je devais vivre avec cet acte sur la conscience, maman avait décidé de ne rien dire à papa. J’étais d’accord avec elle je ne voulais pas qu’il me voit dans cet état. « Tris… Je te dérange ? » Cette voix qui savait mieux que personne me remonter le moral, je tournai la tête vers Silley celle qui était devenu ma meilleure amie cette même année, on se connaissaient depuis notre plus jeune âge par l'intermédiaire de nos parents qui était des amies de longues dates, mais c'est seulement au lycée qu'un rapprochement s'est opérer entre nous. Ces derniers temps je l'avais négligé pour Wren, au fond j’aurai du écouter Silley qui avait raison sur toute la ligne, mais j’étais têtue comme une mule et orgueilleuse comme pas deux. Je lui souris pour lui dire que non, c’était elle qui m’avait aidé le soir du bal. « Comment ça va aujourd’hui ? » « Comme une personne qui a voulu mettre fin à ces jours. » Ma blague sembla rester en travers de sa gorge, ce n’était pas drôle je sais. Mais, on n’allait pas éviter éternellement cette fatalité. « Désolée…. Sinon toi ? » Elle sembla gêner d’un coup, comme s’il avait quelque chose de mal. « Sil, qu’est-ce qui se passe ? » Je voyais bien que quelque chose clochait, ses poings se serraient encore plus. « Je sais que tu ne voulais pas que je parle à Wren, mais je l’ai fait. » « Bordel, Sil, pourquoi ? Il n’en vaut pas la peine. » Je relaissai ma tête tomber sur l’oreiller, elle faisait cela pour me protéger. Tout ça ne faisait que renforcer ma culpabilité, encore une fois. « Désolé. »

    you know you love me

    « Mlle Odair, vous m’honorez de votre présence dans mon cours. » Sans vraiment écouter un traite mot, je m'étais rendu au fond de la classe pour prendre place a coter d’un nouveau. Pour faire mine de m’intéresser au cour, j'ai sorti ma trousse et sans perde de temps mon iphone suivit. Les cours, c'était très peu pour moi, j'avais bien évidement des capacités dans certaines matières, malheureusement, la littérature n'en fessait pas parti, la prof me collait constamment des mauvaises notes, donc je préférais ne pas faire d’efforts. Iphone en main sans même prendre la peine de le cacher, je commence à écrire un texto quand je fus subitement sorti de mes pensées par la voix du jeune homme près de moi. « Salut je suis nouveau, moi, c'est Jackson. » Dit-il un magnifique sourire aux lèvres. « Tant mieux pour toi, mais j'ai envie dire, je m'en fiche un peu. » La prof qui était en plein cours et qui voyait bien que nous discutions s’avança vers notre rangé et elle commença une déblatération pas possible autour du fait d’être attentif en cours. « Cohen, Odair souhaitez-vous réellement que je vous mettent à la porte ? De plus, Mademoiselle Odair, au vu de votre note au dernier devoir qui se trouve être un F vous devriez ne pas trop vous permettre de discuté dans mon cour. » C’est bon je faisais déjà un effort pour venir en cours elle pouvait éviter de me prendre la tête avec des conneries pareils. Malheureusement celle-ci ne s’arrêta pas là en voyant mon téléphone portable. « Odair, une nouvelle fois, pouvez-vous avoir l’obligeance de ranger ce téléphone cellulaire avant que je ne vous le prenne. » « Bah voyons… Tu peux toujours courir vieille pot. » « Très bien, Mademoiselle Odair, ça suffit maintenant, dehors, ce sera quatre heures de colle et un travail supplémentaire sur la pièce de racine à me rendre pour demain. » Après l’humiliation publique que j'avais subi devant l'école entière, j'essayais de me donner un coter rebelle sans doute pour montrer à tout le monde que j'en avais fini de me faire marcher dessus, je m'étais même teinte en brune en me mettant à contester toute autorité. J'avais bien faillit me faire virée de mon lycée à de nombreuses reprises dû à mon comportement plus qu’impertinent, insupportables et irrespectueux vis à vis de mes professeurs et de mes camarades de classes. Pour en revenir à mon exclusion, pas d'inquiétude à avoir comme tout enfant de famille riche, mes parents ont bien entendu été dans l'obligation de versée chaque années une certaine somme d'argent assez imposante à mon lycée afin que je ne me fasse pas expulsé, ainsi grâce à moi toute la bibliothèque de mon lycée à pu être remise à neuf, tout comme de nombreux matériels pédagogique du lycée. Après ma tentative de suicide, je voyais la vie d'une autre manière, en me disant que je ferrais mieux de profiter de la vie pendant que j'étais encore jeune plutôt que de la regretter par la suite. J'avais commencé à fumer, boire, coucher avec n'importe qui et surtout fréquenté les boîtes de nuit les plus céleste toujours accompagné de ma fidèle Silley.




    you know you love me

    « Tris, tu vas très vite changer de vocabulaire avec moi. » « Et puis quoi encore ? Tu me prends pour qui ? Tu me parles comme si j'étais une chienne, sans la moindre respect et tu veux que je te respecte en retour ? Jamais je me montrerai respectueuse envers quelqu'un qui ne l'est pas en retour avec moi. Alors c'est toi qui va rapidement me parler autrement, parce qu'un père digne de ce nom n'oserait pas ouvrir sa bouche de cette façon pour parler à sa fille. » Et ça recommençait. Encore une de ces disputes quotidiennes. Sauf que cette fois-ci, elle semblait bien pire. J'aurais pu, sur le champ, m'en aller de cette appartement qui était à ce moment pleine d'ondes négatives. « Je suis ton père, comme tu le dis. J'ai le droit de te parler comme je le souhaite. » « Mon père ? Mais tu plaisantes, j'espère ? Tu n'est pas capable d'assumer ton rôle de père, t'as préférer quitter maman pour ce connard ! Tu me dégoûtes ! » Je me suis retirée de la pièce pour aller me réfugier dans la chambre. Les larmes ont alors très vite logé mes joues rosées. Je détestais entretenir ce même genre de conversation avec lui à chaque fois qu'il me rendait visite. Mais je ne devais plus y penser. Je devais me reprendre en main. Qui étais-je pour pleurer en solitaire à propos d'une foutaise, une niaiserie ? Je me suis redressée, et j'ai jeté un œil dans le miroir en face de mon lit. Mon maquillage avait coulé, et de légères cernes étaient venues habiter le dessous de mes yeux. J'ai essuyé le noir autour de mon regard avec le revers de ma main. Je devais me changer les idées, je devais absolument penser à autre chose pour ne pas plonger dans la sombre déprime. Sans même la prévenir, j'ai décidé de me rendre à l'appartement de Silley, je me suis rincée le visage puis j'ai attrapé mon manteau que j'ai enfilé en sortant et en prenant soin de claquer la porte d'entrée, histoire de faire ressentir à mon père le mal-être qu'il me procurait. Devant l'entrée de son appartement, je n'ai pas frappé, je suis entrée directement, sans même faire de bruit, du moins, en essayant, cette satanée porte avait fait un bruit monstre ou peut-être avais-je eu cette impression à cause de l'horrible silence qui remplissait la pièce. J'ai fermé délicatement derrière moi, et je suis restée debout sur le pas de la porte, en attendant qu'elle dise quelque chose. Elle me tournait le dos, assise sur le lit, accroché à son ordinateur. « Je ne savais pas que je t'étais indispensable... » J'ai souris. Je ne pouvais que sourire quand je l'entendais. C'était comme si depuis une semaine, j'avais éprouvé une sorte de minuscule manque mais qui s'assoupissait maintenant que je l'avais comblé au son de sa voix et je le remarquais grâce à ce sourire radieux qui illuminait mon visage. Je ne disais rien, j'attendais. Ses mots ont monté d'un ton. « Je t'ai manquée, peut-être ? » Je m'approche doucement. « Bien-sûr que tu m'as manqué, Sil. » J'agissais bizarrement depuis qu'on avait échanger un baiser et cela m'effrayait. Des sentiments d'amour naissants, peut-être ? Non, je ne pouvais pas. Je n'étais encore jamais tombée amoureuse depuis celui qui avait réussi à me briser le cœur. J'y étais attachée, à ce salaud, puis il avait tout détruit. Depuis ce jour, je refuse de montrer quelconque sentiment que je peux ressentir par rapport à quelqu'un. J'en avais bien trop peur. La souffrance me terrorisait, elle me poursuivait, je le savais. C'est pour cette raison que face à Silley, je pouvais me sentir légèrement gênée, horriblement gênée même. Je me suis mordu la lèvre inférieure tout en passant une main dans mes cheveux. Je ne savais pas ce qui m'arrivait, mais j'allais laisser le temps passer, j'allais tout faire pour essayer de repousser de toutes mes forces cet attachement si particulier. « Donc c'est la raison de ta venue ? » J'ai souris. Le genre de petit sourire idiot qu'importe la situation, le genre de sourire que vous esquisser quand vous vous sentez bien. Je ne savais plus vraiment quoi répondre. Je ne savais pas moi même la raison de ma venue. C'était sur un coup de tête que j'avais pris cette décision, bien que j'en avais eu envie depuis quelques jours déjà. « Et si je te répondais par oui, rejetterais-tu ce minuscule signe d'affection ? » J'avais peur de l'effrayer. Elle n'était pas du genre à s'attacher. Je ne l'étais pas non plus, d'ailleurs, mais c'était plus fort que moi. « Tris c'est quoi cette question ? » Je n'allais pas bien. Mon moral était au plus bas, mon cœur, lui, saignait à ne plus cesser. Pourtant, j'essayais comme je le pouvais de ne pas le montrer. Je n'étais pas le genre à toujours ouvrir mon cœur, tout cela par peur. La peur de l'incompréhension, du rejet de ce que j'étais. Ma carapace de jeune femme pourrie gâtée qui boit et couche avec n'importe qui, cette carapace-là me permettait de me protéger du regard jugeur des autres, un regard qui pourrait me rabaisser jusqu'au sol si j'y prêtais vraiment attention. J'ai d'ailleurs toujours eu l'impression de vivre à travers l'idée qu'ils se faisaient de moi. Certes, je m'étais forgée ma propre personnalité, mon caractère, mais ce que pensaient les autres de moi m'importait énormément, je m'y focalisais beaucoup trop. Je me suis contentée de lui répondre simplement, en espérant qu'elle n'allait pas essayer de comprendre, puisque je ne me comprenais pas moi-même. « Oublie ce que je t'ai demandé, je crois que je ferrais mieux de partir... » Mes paroles semblaient vides de sens, mais pourtant, derrière elles se cachait un bon nombre d'explications que je ne pourrais cependant pas détailler. Elle s'est approché tout près de moi et j'ai senti cette pompe qu'on appelle le cœur doubler la rapidité de ses battements. J'étais devenu silencieuse, dénuée de tout bruit. J’avais beau chercher le début, chercher d’où venait cet afflue, non rien. Rien ne me permettait de savoir d’où elle était arrivé. N’importe où, n’importe quand. Elle était là, partout, partout, toujours dans mon esprit et je cherchais, je cherchais en vain ce besoin, cet instinct, je cherchais mais je trouvais pas ce petit quelque chose ailleurs qu'elle me faisait. Je voudrais que les sentiments que j'éprouve à son égard ressemble vraiment à quelque chose. « Non, reste enfin si tu veux... » Je ne sais pas ou j'en suis, elle est là, avec son regard charmeur et ses paroles envoutantes. Telle une charmeuse de serpents, elle m’attire, me torture dans des sentiments que je n’avais pas ressenti depuis bien longtemps. Elle avait peut-être fermé la porte pour ne pas me montrer cette attirance, mais elle avait laissé une fenêtre ouverte. Un endroit où m’immiscer, l’accompagner, la rendre heureuse et juste sa présence me faisait du bien, mais j'avais cette soudaine envie de vouloir plus. J'étais déboussolée, désemparée, perdue. J'avais mal, mal au cœur, mal d'amour, mal pour toujours, pourtant, j'avais esquivé un sourire pour masquer ce malaise qui m'avait envahit, essayant de continuer à agir normalement comme si rien ne s'était jamais passé entre nous, je ne savais pas combien de temps encore j'aurais la force de continuer à nier l'évidence...
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Olivia Wakefield
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MessageSujet: Re: TRIS ▲ ELLE A LES YEUX QUI CRIENT BRAGUETTE   TRIS ▲ ELLE A LES YEUX QUI CRIENT BRAGUETTE EmptySam 15 Déc - 10:33

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MessageSujet: Re: TRIS ▲ ELLE A LES YEUX QUI CRIENT BRAGUETTE   TRIS ▲ ELLE A LES YEUX QUI CRIENT BRAGUETTE EmptySam 15 Déc - 10:58

Rebienvenue. tongue Cette fois-ci, le scénario est libre, je te le promets TRIS ▲ ELLE A LES YEUX QUI CRIENT BRAGUETTE 1881463262
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MessageSujet: Re: TRIS ▲ ELLE A LES YEUX QUI CRIENT BRAGUETTE   TRIS ▲ ELLE A LES YEUX QUI CRIENT BRAGUETTE EmptySam 15 Déc - 15:36

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MessageSujet: Re: TRIS ▲ ELLE A LES YEUX QUI CRIENT BRAGUETTE   TRIS ▲ ELLE A LES YEUX QUI CRIENT BRAGUETTE EmptySam 15 Déc - 16:59

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MessageSujet: Re: TRIS ▲ ELLE A LES YEUX QUI CRIENT BRAGUETTE   TRIS ▲ ELLE A LES YEUX QUI CRIENT BRAGUETTE EmptySam 15 Déc - 17:33

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MessageSujet: Re: TRIS ▲ ELLE A LES YEUX QUI CRIENT BRAGUETTE   TRIS ▲ ELLE A LES YEUX QUI CRIENT BRAGUETTE EmptySam 15 Déc - 17:35

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MessageSujet: Re: TRIS ▲ ELLE A LES YEUX QUI CRIENT BRAGUETTE   TRIS ▲ ELLE A LES YEUX QUI CRIENT BRAGUETTE EmptySam 15 Déc - 17:47

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MessageSujet: Re: TRIS ▲ ELLE A LES YEUX QUI CRIENT BRAGUETTE   TRIS ▲ ELLE A LES YEUX QUI CRIENT BRAGUETTE EmptySam 15 Déc - 17:49

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MessageSujet: Re: TRIS ▲ ELLE A LES YEUX QUI CRIENT BRAGUETTE   TRIS ▲ ELLE A LES YEUX QUI CRIENT BRAGUETTE EmptyDim 16 Déc - 14:21

Merci à tous TRIS ▲ ELLE A LES YEUX QUI CRIENT BRAGUETTE 2429470456
voilà je pense avoir terminé ma fiche I love you TRIS ▲ ELLE A LES YEUX QUI CRIENT BRAGUETTE 3458505197
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MessageSujet: Re: TRIS ▲ ELLE A LES YEUX QUI CRIENT BRAGUETTE   TRIS ▲ ELLE A LES YEUX QUI CRIENT BRAGUETTE EmptyDim 16 Déc - 14:29

J'attends l'avis de Silley I love you
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MessageSujet: Re: TRIS ▲ ELLE A LES YEUX QUI CRIENT BRAGUETTE   TRIS ▲ ELLE A LES YEUX QUI CRIENT BRAGUETTE EmptyDim 16 Déc - 19:41

welcome here !
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MessageSujet: Re: TRIS ▲ ELLE A LES YEUX QUI CRIENT BRAGUETTE   TRIS ▲ ELLE A LES YEUX QUI CRIENT BRAGUETTE EmptyLun 17 Déc - 8:18

Si elle ne donne pas son avis, dans la journée je te validerai I love you
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MessageSujet: Re: TRIS ▲ ELLE A LES YEUX QUI CRIENT BRAGUETTE   TRIS ▲ ELLE A LES YEUX QUI CRIENT BRAGUETTE EmptyLun 17 Déc - 16:43

Désolé, je n'avais pas vu TRIS ▲ ELLE A LES YEUX QUI CRIENT BRAGUETTE 1408284189, honte à moi Arrow, vous pouvez valider, la fiche est parfaite I love you
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MessageSujet: Re: TRIS ▲ ELLE A LES YEUX QUI CRIENT BRAGUETTE   TRIS ▲ ELLE A LES YEUX QUI CRIENT BRAGUETTE EmptyLun 17 Déc - 19:01

Fiche validée. Bienvenue chez les WOODSEN TRIS ▲ ELLE A LES YEUX QUI CRIENT BRAGUETTE 1169031070
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